dimanche 31 août 2008

De glace reste mon cœur

De glace reste mon cœur
A cet insurmontable douleur
Je n'est plus d'espoir
Et me réfugie dans le noir

Mon sang viens de couler
Je me suis vider
Vider de ma souffrance
C'est comme une délivrance

Se sang qui donne la vie
Et qui peut la reprendre en dépit
Sa vue et toute fois calmante
Mais d'un coter déprimante

Chacun est libre de son destin
Moi je suis dans un cercle sans fin
Ma vie entière est une erreur
La mort m'accueille dans sa demeure

vendredi 22 août 2008

Ouvre les yeux



J'aimerais tant que tu me parles
Que tu séches enfin tes larmes
Et depose tes armes

J'aimerais tant que tu me vois
Je suis la à côté de toi
Explique moi, dis moi pourquoi?

J'aimerais tant que tu es confiance
Que tu brise enfin ton silence
Et quitte souffrance et errance

Retourne toi et ouvre les yeux
Regarde les gens sur ton chemin
Regarde, il y en a des bien
Alors profite! et attrape leur mains
Retourne toi et ouvre les yeux

Je suis la, parmis eux,
Il te suffit d'ouvrir les yeux

Je suis la pour t'aider
Tu peux te confier
Tu ne seras pas juger

Tu peux parler librement
De tout de rien, seulement,
Il faut que tu me voit
Je ne suis pas loin regarde moi

J'aimerais tant que tu arrives à te confier
Que tu vienne enfin me parler
Tu ne seras pas juger, juste écouter


Tu peux me parler de tes peurs
Tu peux me parler de tes douleurs
Tu peux crier et me parler de ta haine
Tu peux crier et me parler de tes peines
Tu peux me raconter tout tes problémes.

J'aimerais tant pouvoir t'aider
Si tu veux, je resterais à tes côtés
Et serais la pour te guider
Je t'aiderais à avancer
Je ne te laisserais pas tomber

Tu sais que si tu as besoin
Il te suffit d'attraper ma main
Je serais la pour t'écouter
Et t'aider à avancer

Ne perd pas espoir
Ouvre les yeux
Tu me verra dans le couloir
Et tu verra que ça ira mieux
C'est toujours plus facile à deux
Alors ouvre les yeux.

Retourne toi et ouvre les yeux
Regarde les gens sur ton chemin
Regarde, il y en a des bien
Alors profite! et attrape leur mains
Retourne toi et ouvre les yeux

mercredi 20 août 2008

La petite bulle


Elle s'envole la petite bulle
Elle joue un peu avec les libellule
Elle tourne, elle vrille
Elle monte au soleil, elle scintille

La petite bulle s'envole vers le ciel
Elle circule entre les rayons d'arc en ciel

Elle est nait de presque rien
Cette petite bulle de savon
Et elle fait déjà son chemin
Elle parcours d abord les lagons
Du fond de son bassin
Ensuite elle se laisse emporter par le vent
Elle ne pense pas du tout au temps

Elle monte vers les nuages
Elle ne pense pas aux orages
Elle regarde le monde d'en haut
Et se dit que c'est beau

Où va t-elle cette petite bulle?
Se sentant pousser des ailes
Elle monte très haut dans le ciel
Mais que fait cette petite bulle?
Elle est inconsciente d'être monté si haut
La haut le vent est tel une faux
Il est violent et en a après la bulle

Elle essaie de lui résister et perd le contrôle
Il souffle une première fois et la frôle
Il souffle à nouveau et elle éclate
Il ne reste plus rien de ces couleurs écarlate.

mardi 19 août 2008

Arracher ce coeur

Je voudrais pouvoir arracher ce coeur
Ce coeur qui depuis longtemps saigne
Ce coeur qui crée tant de peines
Ce coeur qui autour de lui répend les douleurs

Je voudrais pouvoir tout arrêter
Arreter ces battements qui sont insignifiant
Arreter les coulement de tout se sang
Arreter le temps pouvoir enfin rêver

Je voudrais simplement être normal
Etre seulement bien ici
Etre simplement en vie
Etre enfin bien ne plus avoir mal

dimanche 17 août 2008

Déposer l'arme

On m'a souvent demander de poser mes armes
D'arrêter, de me retenir et faire couler mes larmes
C'est si simple à dire et si dur à faire
Ça me colle depuis tellement longtemps que je ne peux m'en défaire

Mes armes, j'en ai fait ma défense
Comment réussir à les déposer?
Mes larmes, j'en ai fait une offense
Comment réussir à les faire couler?

Au final mes larmes sont enfermer
Je les ai déposer et verrouiller à clef
Elles sont bien garder et surveiller
En permanence par mon armée

Déposer mes armes
Et libérer mes larmes
Ça me parait invraisemblable
Et complètement irréalisable

samedi 16 août 2008

Son nom de plume

On parle souvent d'elle et de sa plume
Du nom qu'elle lui a donner un soir sous la lune
On dit que c'est pour se cacher
Parce qu'elle évite de se montrer, de parler
Et alors si elle préfère se donner un nom de plume?
Et alors si elle n'aime pas le monde et préfère rester sous la lune?
Son nom de plume est porteur de ragot
Mais elle s'en fou, ignore les gens et préfère ses feuilles et ses mots
Les gens qui ne vivent pas comme elle ne peuvent pas comprendre
Les gens qui ne vivent pas comme elle ne peuvent pas l'entendre.

J'ai voulu disparaitre pour renaitre

J'ai voulus disparaitre
Pour pouvoir renaitre
Pouvoir réapparaitre
Sans mon mal être

Pouvoir revenir
Et ne plus souffrir
Pouvoir enfin sourire
Pouvoir enfin rire

Pouvoir trouver ma place
Ne plus qu'on m'efface
Ne plus être de glace
Ne plus avoir de trace

Pouvoir fermer les yeux
Et les rouvrir dans un autre lieu
Les rouvrir en étant quelqu'un d'autre
Les rouvrir en étant beaucoup plus forte

J'ai voulus disparaitre
Pour pouvoir renaitre
Pouvoir réapparaitre
Sans mon mal être

vendredi 15 août 2008

Idées délirantes, abérentes, omniprésentes

Envie de te trancher la carotide
Pour apaiser se sentiment de vide
Voir ton sang couler,
Sur le sol marbrer

Idées délirantes,
Idées abérentes,
Mais idées omniprésentes!


Envie de te broyer tout les os du corps
De te voir étendu au sol raide mort
Voir ta vie te quitter
Voir ta vie s'achever


Idées délirantes,
Idées abérentes,
Mais idées omniprésentes!


Je vois rouge comme le sang
Je vois rouge comme un dément
Il faut nourrir le démon
Il faut faire fuir l'obsession

Je ne peut plus me contrôler
Je ne peut plus l'emprisonner
Il faut le laisser sortir
Il faut le laisser se nourrir

Ce démon qui n'est jamais rassasier
Ce démon qui n'est jamais satisfait

J'ai envie de,
Te créer des douleurs inimaginables
J'ai envie de,
Te crée des douleurs insupportables
J'ai envie de,
Te broyer tout les os du corps
Sans éprouver le moindres remords...

Idées délirantes,
Idées abérentes,
Mais idées omniprésentes!


Me laisser aller dans la violence
Me laisser aller dans la démence
Folie passagère?
Ou réel acte volontaire?

Envie de meurtre et de sang

Je me laisse envahir
Par cet amas de haine
Je laisse la porte s'ouvrir
Et lui enlève ces chaines

J'ai envie d'hurler
J'ai envie de frapper
J'ai envie de tuer

Je n'essaie pas de lutter
Et la laisse me procéder
Je la laisse s'emparer de mon âme
Je la laisse exécuter ce drame

Elle réclame du sang
Elle réclame des vies
Elle fredonne son chant
Et pousse enfin son cris

Elle s'impatiente...
Elle me tourmante...

Je finis par vous sautez dessus
Ne cherchez pas, tout est perdu
Je vous ferez souffrir,
A un point inimaginable
Je vous ferez souffrir,
Au delà du supportable
Je vous briserez tout les os du corps
Je vous briserez jusqu'à la mort
Entendre ces doux craquements
Entendre ces doux hurlements

Voir,
Au fond de vos yeux cette peur
Voir,
Au fond de vos yeux cette douleur

Quelle jouissance,
De vous achever ici!
Quelle jouissance,
De vous achever ainsi!

Voir votre sang se répendre
Voir votre vie se fendre.